J'avais, au travers d'un site spécialisé sur les hommes aimant porter de la lingerie, trouvé un mec qui allait m'accompagner dans une nouvelle aventure de transformation. Au fur et à mesure de nos échanges d'emails, puis de rencontre avec un chat webcam, nous nous étions découverts nos affinités et avions décidé de franchir le pas, et de nous rencontrer. J'allais enfin devenir une femme et passer la journée avec un homme!

Je me trouvais donc, en ce début d'après-midi, sur la terrasse d'une suite d'un hôtel de luxe de la région. Il devait arriver vers 15 heures. J'avais la trouille, tout ce qui allait se passer était nouveau pour moi. Mes plaisirs solitaires, mes fantasmes n'avaient été jusqu'ici que peu partagés, et toujours de manière anonyme.

Nous avions déjà convenu du déroulement de la journée. Je devais le retrouver au bar de l'hôtel pour lui donner la clé de la suite, et remonter me préparer avant qu'il ne me rejoigne. A l'heure dite, je descendis et l'attendis sur un canapé du bar.

Il ne fallu pas long avant qu'un homme arrive dans le bar vide. Il portait un costume sombre, une chemise blanche et tirait une petite valise. Il avait l'air musclé et avait une classe folle, avec sa barbe de trois jours. Lorsque nos regards se croisèrent, je lui souris et acquiesça la tête. Il me sourit en retour et s'approcha de moi. Je me levais.

• Tony? Lui demandais-je en lui tendant la main.

• Oui, vous devez être Aurélie? Me répondit-il.

Apres avoir échangé des banalités, il s'assit sur le fauteuil en face. Je lui lançais:

• Je vais vous laisser! Voici la carte de la chambre, rejoignez-moi d'ici un petit quart d'heure. Je posais la carte devant lui et lui caressa légèrement la cuisse en me relevant. J'avais remarqué l'énorme bosse entre ses jambes. Impossible cependant d'estimer s'il bandait déjà.

Les deux minutes que prirent mon retour me parurent interminables. Arrivé dans la suite, je me déshabillait. Nous avions convenu de commencer sans entrer dans les détails, sans fellation ni sodomie. Ma première expérience devait commencer tranquillement. Toutes mes tenues étaient déjà rangées dans l'armoire, mon maquillage sur le rebord du lavabo, tout comme le plug, petit gode utilisé pour élargir l'anus avant une sodomie. Vu la bosse sous le pantalon du monsieur, j'allais en avoir besoin!

Je me déshabillais, puis enfilais une nuisette transparente rouge à dos ouvert, et le string assorti. Je me regardais dans la glace de la chambre. Ma queue remontait le long de mon ventre sous le string. Puis, j'enfilais des bas résille blancs et des mules en satin rouge. Leur talon était grand, environ 10 centimètres, et il y avait un gros noeud rouge sur la base des orteils. J'espérais secrètement ne pas paraître ridicule lorsqu'il arriverait.

Je tirais le couvre-lit et les draps et me couchais sur le côté, dans une pause suggestive. Excellent timing: quelques secondes plus tard, j'entendis la carte glisser dans le lecteur de la porte et mon homme entrer dans la suite.

-Ah, il y a une queue de trop dans cette chambre! laissez-moi poser mes affaires avant de vous rejoindre, Aurélie! Il posa sa valise à plat sur le sol, et l'ouvrit. Puis, il retira sa veste et sa chemise, et avant d'entrer dans la salle de bain, se retourna et soupira en me regardant.

-Hmmmm! Je suis heureux d'être la. Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous violer, bien que l'idée de vous défoncer le cul est bien tentante! Puis il entra dans la salle de bain et ferma la porte derrière lui.

Lorsqu'il il en ressorti, j'étais assis sur une chaise, les jambes croisées. Il était apparemment nu sous son peignoir.

• Tony, puis-je aller fumer une cigarette avant de vous découvrir?

• Volontiers. Allons profiter du soleil sur la terrasse.

En effet, la terrasse donnait sur les toits de la ville, aucune chance que des regards puissent tomber sur nous. Accoudés à la rambarde, nous fumions une cigarette en discutant. Durant un moment de silence, je sentis sa main se poser sur ma fesse sous la nuisette, ce qui créa une excitation tout à fait positive. Je me tournais et passais la main sur le peignoir, à la hauteur de son entrejambe. Sa queue avait l'air tellement grosse! Il soupira, puis à son tour, passa juste un doigt sur mon string. Je bandais instantanément

Sans rien dire, nous avons jeté notre cigarette et sommes rentres.

D'un air langoureux, je montais sur le lit à quatre pattes en le regardant dans les yeux.

J'étais toujours à quatre pattes, les jambes écartées lorsqu'il s'assit devant moi. A genou, je détacha la ceinture de son peignoir et le lui retirait doucement. Il fut enfin nu. Sa queue, grosse et magnifique était à moitié gonflée. Je la pris dans la main.

• Vous avez une superbe queue, Tony!

Le temps que je le dise, sa main avait suivi ma poitrine et mon ventre, pour terminer en massant mes testicules sous mon string.

Sans un mot, nous nous sommes couchés l'un en face de l'autre. Apres qu'il eut sorti ma queue du string et relevé ma nuisette, nous nous sommes caressés, chacun s'affairant sur la queue de l'autre. Je lui mordis les lèvres et voulu descendre voir sa bite de plus près, mais surtout goûter ce sexe qui était devenu dur comme de la pierre et long comme un concombre.

Me tenant par le menton, il me remonta vers son visage.

• Tu es une coquine, toi! Gardons cela pour notre soirée!

• Mais Tony, on ne va pas s'arrêter en si bon chemin quand même!

• Oh que non! mais j'ai commandé une salope pour ma soirée, pas pour mon après-midi! Utilise tes mains, cela sera suffisant pour ta première queue!

Alors nous nous sommes couchés sur le flanc, l'un en face de l'autre, se masturbant mutuellement. Il était clair que Tony avait une expérience en la matière: jamais une branlette n'avait été aussi bonne! Puis, je me tourna sur le dos, les jambes écartées, la queue en l'air. Il se mit à genou au dessus de moi, et frotta sa queue contre la mienne. Je n'aurais jamais imaginé qu'une si grosse bite puisse être aussi douce!

Alors, je repris sa verge dans la main et lui la mienne, et nous avons terminé de nous branler. Il finit par se coucher sur le flanc, collé contre moi alors que nos mains s affairaient toujours. Je fus le premier à éjaculer, mouillant son sexe, et son bas-ventre. Quelques secondes plus tard ce fut son tour. Je sentis son sperme chaud sur ma queue épilée, et sentis ma lingerie s'humidifier.

Nous avons étalé nos jus avec les mains sur nos ventres. Finalement, il me donnait sa main à lécher, et je ne puis m'empêcher de faire de même. Nos spermes étaient doux et chaud. Je nettoya entièrement mes mains avec la langue et avalais.

Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre, transpirants, ma nuisette souillée et nos corps collants. Je me retourna, et il se colla contre mon dos. Je sentais sa queue encore humide mouiller mon cul et bougeais les hanches pour la coincer entre mes fesses.

Je me suis réveille vers 18h. Sans faire de bruit, je me levais. En passant devant la glace, je découvris ma nuisette et mon string sales. J'étais étonné par la quantité de sperme nous avions lâché l'un sur l'autre. Je me couchais en me posant des questions sur ce que je venais de faire. C'était plutôt bon, et je me sentais fier et prêt à me transformer en femme pour notre soirée.

Tout propre et frais, je retournais dans la chambre. Tony y dormait toujours.

Afin de commencer la soirée, j'allais jouer la petite coincée. J'enfilais un ensemble culotte et soutien gorge en soie noirs, dont les bordures étaient en dentelle blanche. Puis, je gainais mes jambes de collants en résille noirs. Puis, je passais un col roulé sans manches noir, ainsi que des pantalons, toujours noirs, et une ceinture large vernie. Finalement, j'entrais mes pieds dans des petites ballerines noires vernies, avec un petit noeud sur le devant.

C'était parfait. Mon reflet dans la glace montrait une petite gonzesse passe-partout. J'aurais pu être une de ces petites secrétaires coincées qui se touchaient le soir en s'imaginant prises par leur patron..

Dans la salle de bain, je mis une parure en perles: collier par dessus mon col roule, bracelet et clips d'oreilles. J'appliquais ensuite un léger maquillage, fard à paupière rose clair, mascara, fond de teint rosé et rouge à lèvre rose

Je me rendis sur la terrasse fumer une cigarette et boire un verre d'eau, admirant la vue. Au bout d'un moment, je sentis une main sur mon épaule, que je pris dans la mienne. Tony s'était réveillé et m'avait rejoint, nu. Je me tournais pour lui faire face, et l'embrassa langoureusement

• Pardonne-moi, je t'ai mis du rouge à lèvre, lui dis-je en lui essuyant les lèvres. Il me regarda.

• Tu es belle, Aurélie. Merci pour ces belles caresses tout à l'heure! Me répondit-il en souriant.

• Merci à toi! Sentir ton sperme sur moi et le goûter a été une magnifique expérience!

Je lui caressa doucement sa queue qui recommençait à durcir.

• Tu m'as dit sur un email que tu aimais également porter de la lingerie. Aurai-je la chance d'en découvrir ce soir?

• Hmmmmm.... Surprise! Tu verras bien!

Alors, nous nous sommes installés sur la terrasse et avons gentiment siroté un Martini du bar de chambre, discutant de tout et de rien. Il me raconta ses expériences avec d'autres hommes, et je lui racontai comment je vivais ma double vie virtuelle seul dans mon coin. Je croisais les jambes, jouant avec mes ballerines au bout de mes pieds, regardant régulièrement - et avec envie sa bite qui reposait sur son bas-ventre lorsqu'il était couché sur la chaise longue. De son côté, il n'avait d'yeux que pour mon collant dépassant de mon pantalon, la bretelle de soutien-gorge sur mon épaule et mes pieds recouverts de résille.

Vers 20h30 il prit son gros sexe dans la main et me demanda de me déshabiller, de ne garder que mes sous-vêtements et mes chaussures. Je m'effeuillai doucement, prenant mon temps pour retirer mon col roulé, puis mon pantalon, dévoilant cette bosse dans ma culotte recouverte des collants. J'étais debout, comme une pute se présentant à l'homme qui l'avait payé.

• Bien, je vais commander notre dîner et une bouteille de champagne. Je te laisse le soin d'aller te préparer.

• Volontiers. Afin de préparer mon petit cul pour ce soir, puis-je je te demander un service? Lui demandais-je en m'asseyant à quatre pattes sur la chaise longue voisine.

• J'ai un petit jouet que j'apprécie beaucoup, puis-je te demander de me le retirer?

Il se leva étonné et passa derrière moi. Il baissa mes collants, puis ma culotte et empoigna la cordelette qui dépassait de mon cul, auquel il donna un coup de langue.

• Tire doucement, s'il te plaît...

Il tira sur la cordelette, ce qui fit sortir une boule vibrante, puis une deuxième. Mon cul mit quelques secondes avant de se refermer complètement. Il regarda les boules longuement.

• C'est si bon que ça, d'avoir le cul plein?

Il se coucha donc sur le dos et leva les jambes.

-Alors à mon tour! Je veux essayer aussi!

Je lubrifia son anus avec ma salive et il grimaça tandis que je lui enfonça doucement les boules de geisha, l'une après l'autre. Il se leva, et fit quelques pas.

• Ouah! C'est plutôt sympa! Invisible et plutôt efficace!

En effet, sa queue s'était tendue en quelques secondes.

• On pourrait jouer aux lesbiennes lors d'une prochaine escapade!

Je confirmais en acquiesçant, excité par l'idée de nous deux se suçant mutuellement, déposant un peu de gloss à chaque mouvement sur nos queues.

Je me levai, ajusta ma bite dans la culotte avant de remonter les collants. Avant de rentrer dans la suite, je lui lançais:

• Je vais me faire belle pour notre soirée. Commande notre repas. Pas de dessert pour moi, j'ai ce qu'il faut!

Il appela le service d'étage alors que je préparais ma tenue pour le reste de la soirée, et disparus dans la salle de bain.

Je commençais par enfiler un string en dentelle transparente blanche, puis le soutien-gorge assorti, puis le porte-jarretelles. Puis je me démaquillais et appliqua mon maquillage de soirée: Fard dégradé, de gris clair á foncé sur l'extérieur de la paupière, eye-liner, mascara volumisateur, fond de teint, blush rose et gloss rose brillant. puis, je me collais de faux ongles rouges vifs au bout des doigts.

Ensuite, je gaina mes jambes de bas beiges brillants à bordure en dentelles, que je fixai au porte-jarretelles. Finalement, je passais la robe courte de soirée en satin bleue dont la partie intérieure de la robe était en tulle, puis les escarpins à talons de 12 centimètres en soie assortis. Pour terminer, j'enfilais les longs gants de satin blancs, et mis un bracelet en strass à chaque poignet, un tour de cou et des clips d'oreilles assortis. Je me regarda longuement dans la glace de la salle de bain:

une vraie pute de luxe. Contrôlant que je n'avais rien oublié, mon regard se posa sur le plug, que je pris en main. Je le recouvrais de vaseline, et une jambe sur le rebord de la baignoire, je me l'enfonça très lentement dans l'anus, en respirant fort

J'étais maintenant une petite salope prête à sucer et à se faire enfoncer par la queue de Tony. J'allais même laisser le choix à mon amant d'éjaculer comme il l'entendrait: dans mon cul, sur ma queue, dans ma bouche ou sur mon visage.

Je le rejoignis sur la terrasse, mes talons aiguille claquant sur les dalles. Le champagne était dans un seau, et il nous avait servi une flûte chacun. Il me tendis la mienne.

Il s'était rhabillé et avait toujours cette classe folle!

• Bienvenue Aurélie! Tu es incroyablement sexy!

Je le remerciait en remontant ma robe, afin qu'il découvrit mon sexe enfermé dans le string en dentelle, ainsi que le porte-jarretelles.

Nous nous sommes assis sur les fauteuils. Je sirotais mon champagne, déposant un peu de gloss sur le rebord du verre et sur les filtres de mes cigarettes. Je maintenait des poses féminines, croisant et décroisant les jambes. Je m'amusais de temps en temps à garder les jambes légèrement ouvertes, afin de le titiller.

Vers 22 heures, il posa nos coupes sur la table basse et m'invita à le rejoindre pour le dîner, qui venait d'être livré. Il faisait preuve de beaucoup d'élégance et d'égards.

Assis l'un en face de l'autre, nous avons dîné en nous racontant nos vies et nos passions. Le repas avançait tranquillement. Après avoir bu un café, je déplaça ma chaise afin qu'il me voie en entier, et enlevais mes gants de soirée, doigt après doigt avant de les faire rouler pour les enlever. Puis je m'approcha de Lui d'un pas féminin et me pencha en avant. Je baissa sa braguette, et découvris ma surprise: sa queue était cachée par une culotte transparente en dentelle noire, elle-même recouverte de collants.

A croupi, je descendis lentement son pantalon et regarda ses jambes enylonnées tout en caressant son sexe à travers ces couches transparentes. Il bandait, mais la pression des collants empêchait une érection totale.

Surexcité, je déchirais les collants et sorti sa queue qui se tendit instantanément. Elle était droite, en l'air et dure comme de l'acier.

Voilà donc ce qui allait me rentrer dans le cul plus tard. Je le branla rapidement, puis la tenant dans la main, j'aspirais ses testicules, avant de la lécher de la base jusqu'au bout du gland, autour duquel je tournais la langue.

Je l'enfonça ensuite presque entièrement dans la bouche, Ma tête allant d'avant en arrière, puis le relèchant tandis que je le masturbais. Il avait la tête en arrière, prêt à exploser.

Effectivement, il ne fallu que peu de temps avant que ma bouche ne se remplisse de sperme, à ma stupéfaction. Si je me retirais, tout allait couler sur ma belle robe! Alors je déglutis, sentis son jus couler le long de ma gorge et de mon oesophage. Lorsque ma bouche fut vide, je reculai. Un peu de sperme coula sur mon menton, que je récupéra avec le doigt en le regardant dans les yeux.

Tandis que son sexe encore battant rétrécissait, j'essuyais la dernière saccade de son gland d'un coup de langue, et gardais sa bite dans la main. Il me regarda en me tenant la tête.

• Merci Aurélie! Tu es une excellente suceuse!

Je replaça sa queue molle dans sa culotte et me relevais. J'ajustai les montants du porte-jarretelles, et replaça ma queue encore bandante tant bien que mal dans mon string.

• Aurélie, j'avais promis de te retourner sur la table, mais tu as été trop bonne. Laisse-moi reprendre mes esprits, je vais t'honorer comme il se doit dans un petit moment.

Sur ce, il se leva, se déshabilla et avant de partir prendre une douche, passa ses mains sous ma robe, une sur mon sexe et l'autre entre mes fesses.

• Toi aussi tu as le droit de jouir!

Il m'accompagna par la main et m'assis au bord du lit. A genou devant moi, il écarta mes cuisses et dégagea ma queue. Il me masturba parfaitement. J'essayais de tirer sa tête, mais il ne voulait apparemment pas sucer ma queue. Lorsque je jouis, il fit attention à ce que ma tenue ne soit pas souillée et récupéra mon sperme dans la main, qu'il lècha en me regardant.

• Va te reposer sur la terrasse pendant que je vais prendre une douche! Me lança-t-il en ajustant mon string.

Nous étions vidés, au sens propre comme au figuré. Je me levais, et allais claquer mes talons sur la terrasse.

Il me rejoignis après une bonne demi-heure. Je me relevais de la chaise longue en souriant en le voyant: il m'avais piqué mes petites affaires et portait les sous-vêtements noirs à dentelle blanche, les collants résilles et les ballerines. Il ne s'était cependant pas maquillé.

Nous avons terminé la bouteille de champagne vers une heure du matin. Une fois la bouteille retournée dans le seau, je rajouta du gloss sur mes lèvres et m'approcha de lui. Je lui chuchota à l'oreille:

• Ta salope en veut plus! Il est temps que tu me sautes, maintenant!

Je me retournai et me baissa, mon cul devant son visage, et releva ma robe. Il repoussa mon string sur la fesse et retira doucement le plug avant de remettre le string au milieu de ma raie. L'ayant gardé un certain temps, mon anus resta ouvert, prêt à accueillir sa queue. Je me retournais, baissa ses collants et sortis son pénis de la culotte. il bandait déjà. Immédiatement, je la mis en bouche afin de garantir sa taille maximale, ce qui arriva presque instantanément.

Je me mis à quatre pattes. Il se leva, repoussa à nouveau mon string et je sentis enfin sa queue entrer lentement dans mon trou lubrifié, puis commencer des mouvements qui devinrent de plus en plus rapides. Je gémissais de plus en plus fort et finis en criant, adorant sentir cette grosse queue dure et chaude me défoncer. Il me tenait par les hanches et me donnait de grands coups. A chaque mouvement, je sentais ses couilles taper contre les miennes. Il respirait de plus en plus fort, et je passa ma main entre mes cuisses. Je voulais me branler, mais les coups m'en empêchaient.

Il se retira et me retourna violemment. Je me retrouvais assis en face de lui, ma queue tendue, mon visage à la hauteur de son énorme sexe. Il se masturbait rapidement. Sentant qu'il allait jouir, j'approchais ma tête et ouvrit grand la bouche. Il éjacula fort et inonda mon visage et ma bouche de sperme, en fonction des saccades, en grognant. Il baissa la tête

Et me regarda.

• C'est officiel Aurélie chérie, tu es une petite pute!

• Merci Tony. Je suis heureuse d'avoir partagé ma première expérience de femme avec toi. J'espère qu'il y en aura d'autres, en couple ou en lesbiennes. Je t'apprendrai à devenir une petite chienne, tout comme moi!

Je me levai, le visage brillant de sperme.

• Je vais aller me débarbouiller. Tu m'attends au lit?

J'allais m'essuyer et me doucher, puis enfila une petite culotte rose. Il s'était endormi, nu, sur le dos.

Je me coucha sur le flanc et m'endormis à mon tour, la main sur sa queue, épuisé par ma nouvelle vie féminine.

Lorsque je me réveillais le lendemain matin, il était parti.

Il m'avais laissé un cadeau: il s'était masturbé sur ma culotte.

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